Ⅰ 急求法语话剧剧本~!Merci^_^

网络文库里有个 Dom juan
楼主可以去搜索一下
搜索法国剧本应该就可以了
下载不用分的额 我下载啦
给你前面一部分看看 我可不懂法语的...呵呵
ACTE I
------

SCNE PREMIERE - SGANARELLE, GUSMAN.

SGANARELLE tenant une Tabatiere.
Quoy que puisse dire Aristote, et toute la Philosophie,
il n'est rien d'gal au Tabac, c'est la passion des honnestes
gens ; et qui vit sans Tabac, n'est pas digne de vivre ; non
seulement il rjoit, et purge les cerveaux humains ; mais
encore il instruit les ames la vertu, et l'on apprend avec
luy devenir honneste homme. Ne voyez-vous pas bien
ds qu'on en prend, de quelle maniere obligeante on en use
avec tout le monde, et comme on est ravy d'en donner,
droit et gauche, par tout o l'on se trouve ? On n'attend
pas mesme qu'on en demande, et l'on court au devant
sohait des gens : tant il est vray, que le Tabac inspire des
sentimens d'honneur, et de vertu, tous ceux qui en
prennent. Mais c'est assez de cette matiere, reprenons un
peu nostre discours. Si bien donc, cher Gusman, que Done
Elvire ta Maistresse, surprise de nostre dpart, s'est mise
en Campagne aprs nous ; et son coeur, que mon Maistre a
sceu toucher trop fortement, n'a p vivre, dis-tu, sans le
venir chercher icy ? veux-tu qu'entre-nous je te dise ma
pense ; j'ay peur qu'elle ne soit mal paye de son amour,
que son voyage en cette Ville proise peu de fruit, et que
vous eussiez autant gagn ne bouger de l.
GUSMAN.
Et la raison encore, dy moy, je te prie, Sganarelle, qui
peut t'inspirer une peur d'un si mauvais augure ? ton
maistre t'a-t-il ouvert son coeur l-dessus, et t'a t'il dit qu'il
eust pour nous quelque froideur qui l'ait oblig partir ?
SGANARELLE.
Non pas, mais, veu de pas, je connois peu prs le
train des choses, et sans qu'il m'ait encore rien dit, je
gagerois presque que l'affaire va-l. Je pourrois peut-estre
me tromper, mais enfin, sur de tels sujets, l'experience m'a
p donner quelques lumieres.
GUSMAN.
Quoy, ce dpart si peu prveu, seroit une infidelit de
D. Juan ? il pourroit faire cette injure aux chastes feux de
D. Elvire ?
SGANARELLE.
Non, c'est qu'il est jeune encore, et qu'il n'a pas le courage.
GUSMAN.
Un homme de sa qualit feroit une action si lche ?
SGANARELLE.
Eh oy ; sa qualit ! la raison en est belle, et c'est par l
qu'il s'empescheroit des choses.
GUSMAN.
Mais les saints noeuds mariage le tiennent engag.
SGANARELLE.
Eh ! mon pauvre Gusman, mon amy, tu ne sais pas
encore, croy moy, quel homme est D. Juan.
GUSMAN.
Je ne say pas de vray quel homme il peut estre, s'il
faut qu'il nous ait fait cette perfidie ; et je ne comprends
point, comme aprs tant d'amour, et tant d'impatience
tmoigne, tant d'hommages pressants, de voeux, de sopirs,
et de larmes ; tant de lettres passionnes, de protestations
ardentes, et de sermens reterez ; tant de transports,
enfin, et tant d'emportemens qu'il a fait parotre,
jusqu' forcer dans sa passion l'obstacle sacr d'un Convent,
pour mettre D. Elvire en sa puissance ; je ne comprends
pas, dis-je, comme aprs tout cela il auroit le coeur
de pouvoir manquer sa parole.
SGANARELLE.
Je n'ay pas grande peine le comprendre moy, et si tu
connoissois le pelerin, tu trouverois la chose assez facile
pour luy. Je ne dis pas qu'il ait chang de sentimens pour
D. Elvire, je n'en ay point de certitude encore ; tu sais
que par son ordre je partis avant luy, et depuis son arrive
il ne m'a point entretenu, mais par precaution, je t'apprens
(inter nos) que tu vois en D. Juan mon Maistre, le
plus grand scelerat que la terre ait jamais port, un enrag,
un chien, un Diable, un Turc, un Heretique, qui ne
croit ny Ciel, ny Enfer, ny loup-garou, qui passe cette vie
en veritable beste-brute, un pourceau d'Epicure, un vray
Sardanapale, qui ferme l'oreille toutes les remontrances
[chrestiennes] qu'on luy peut faire, et traite de billevezes
tout ce que nous croyons. Tu me dis qu'il a pous ta
Matresse, croy qu'il auroit plus fait pour sa passion, et
qu'avec elle il auroit encore pous toy, son chien, et son
chat. Un Mariage ne luy cote rien contracter, il ne se
sert point d'autres pieges pour attraper les belles, et c'est
un pouseur toutes mains, Dame, Demoiselle, Bourgeoise,
Pasane, il ne trouve rien de trop chaud, ny de trop
froid pour luy ; et si je te disois le nom de toutes celles qu'il
a pouses en divers lieux, ce seroit un chapitre rer
jusques au soir. Tu demeures surpris, et changes de couleur
ce discours ; ce n'est-l qu'une bauche personnage,
et pour en achever le portrait, il faudroit bien d'autres
coups de pinceau, suffit qu'il faut que le courroux Ciel
l'accable quelque jour : qu'il me faudroit bien mieux
d'estre au diable, que d'estre luy, et qu'il me fait voir
tant d'horreurs, que je souhaiterois qu'il fust dja je ne
say o ; mais un grand Seigneur mchant homme est une
terrible chose ; il faut que je luy sois fidele en dpit que
j'en aye, la crainte en moy fait l'office zele, bride mes
sentimens, et me reit d'applaudir bien souvent ce que
mon ame deteste. Le voila qui vient se promener dans ce
Palais, separons-nous ; coute, au moins, je t'ay fait cette
confidence avec franchise, et cela m'est sorty un peu bien
viste de la bouche ; mais s'il faloit qu'il en vinst quelque
chose ses oreilles, je dirois hautement que tu aurois
menty.

SCNE II - D. JUAN, SGANARELLE.

D. JUAN.
Quel homme te parloit l, il a bien de l'air ce me semble
bon Gusman de D. Elvire ?
SGANARELLE.
C'est quelque chose aussi peu prs de cela.
D. JUAN.
Quoy, c'est luy ?
SGANARELLE.
Luy-mesme.
D. JUAN.
Et depuis quand est-il en cette Ville ?
SGANARELLE.
D'hier au soir.
D. JUAN.
Et quel sujet l'ameine ?
SGANARELLE.
Je crois que vous jugez assez ce qui le peut inquieter.
D. JUAN.
Nostre dpart, sans doute ?
SGANARELLE.
Le bon homme en est tout mortifi, et m'en demandoit
le sujet.
D. JUAN.
Et quelle rponse as-tu faite ?
SGANARELLE.
Que vous ne m'en aviez rien dit.
D. JUAN.
Mais encore, quelle est ta pense l-dessus, que t'imagines-tu
de cette affaire ?
SGANARELLE.
Moy, je croy sans vous faire tort, que vous avez quelque
nouvel amour en teste.
D. JUAN.
Tu le crois ?
SGANARELLE.
Oy.
D. JUAN.
Ma foy, tu ne te trompes pas, et je dois t'avoer qu'un
autre objet a chass Elvire de ma pense.
SGANARELLE.
Eh, mon Dieu, je say mon Dom Juan, sur le bout
doigt, et connois vostre coeur pour le plus grand coureur
monde, il se plaist se promener de liens en liens, et
n'aime guere demeurer en place.
D. JUAN.
Et ne trouves-tu pas, dy moy, que j'ay raison d'en user
de la sorte ?
SGANARELLE.
Eh, Monsieur.
D. JUAN.
Quoy ? parle.
SGANARELLE.
Assurement que vous avez raison, si vous le voulez, on
ne peut pas aller l contre ; mais si vous ne le vouliez pas,
ce seroit peut-estre une autre affaire.
D. JUAN.
Et bien, je te donne la libert de parler, et de me dire
tes sentimens.

Ⅱ 求法语剧本

我有《Les Choristes》(放牛班的春天)的剧本,里面有很多不错的段落(3男)。如果你需要,我可以传给你。

Ⅲ 法语短剧剧本!!!急求。在线等

现成的估计没复有 反正我们没找制到
这个还是自己准备吧 改编一些童话故事 或小品等 可穿插一些搞笑元素啊
时长不够时可以当中穿插一段广告 也会有亮点

自己动手的才好 编剧时大家分工互动讨论的过程将是你们以后难忘的快乐片段
也可以学到很多东西
如果是现成的 你们就会忽略很多时态或语法方面的东西 而只是照着背诵了

我们当初为编排甚至熬夜到晚上一点
相信自己的潜力 祝你们成功~

Ⅳ 法语剧本

找Eugene Ionesco的荒诞派戏剧吧 适合在学校里面演 人物少 且不需要什么道具
这里给你找了一幕
[extrait 1 : Comme c'est curieux!]
Mme et M. Martin s'assoient l'un en face de l'autre, sans se parler. Ils se sourient, avec timidité.

M. Martin, d'une voix traînante, monotone, un peu chantante, nullement nuancée. - Mes excuses, Madame, mais il me semble, si je ne me trompe, que je vous ai déjà rencontrée quelque part.

Mme Martin - A moi aussi, Monsieur, il me semble que je vous ai déjà rencontré quelque part.

M. Martin - Ne vous aurais-je pas déjà aperçue, Madame, à Manchester, par hasard ?

Mme Martin - C'est très possible ! Moi, je suis originaire de la ville de Manchester ! Mais je ne me souviens pas très bien, Monsieur, je ne pourrais pas dire si je vous y ai aperçu ou non !

M. Martin - Mon Dieu, comme c'est curieux ! Moi aussi je suis originaire de la ville de Manchester, Madame !

Mme Martin - Comme c'est curieux !

M. Martin - Comme c'est curieux !... Seulement moi, Madame, j'ai quitté la ville de Manchester il y a cinq semaines environ.

Mme Martin - Comme c'est curieux ! Quelle bizarre coïncidence ! Moi aussi, Monsieur, j'ai quitté la ville de Manchester il y a cinq semaines environ.

M. Martin - J'ai pris le train d'une demie après huit le matin, qui arrive à Londres un quart avant cinq, Madame.

Mme Martin - Comme c'est curieux ! Comme c'est bizarre! et quelle coïncidence ! J'ai pris le même train, Monsieur, moi aussi !

M. Martin - Mon Dieu, comme c'est curieux! Peut-être bien alors, Madame, que je vous ai vue dans le train?

Mme Martin - C'est bien possible, ce n'est pas exclu, c'est plausible et, après tout, pourquoi pas ! Mais je n'en ai aucun souvenir, Monsieur.

M. Martin - Je voyageais en deuxième classe, Madame. Il n'y a pas de deuxième classe en Angleterre, mais je voyage quand même en deuxième classe.

Mme Martin - Comme c'est bizarre! Que c'est curieux! et quelle coïncidence! Moi aussi, Monsieur, je voyageais en deuxième classe.

M. Martin - Comme c'est curieux! Nous nous sommes peut-être bien rencontrés en deuxième classe, chère Madame.

Mme Martin - La chose est bien possible et ce n'est pas tout exclu. Mais je ne m'en souviens pas très bien, cher Monsieur !

M. Martin - Ma place était dans le wagon numéro huit, sixième compartiment, Madame !

Mme Martin - Comme c'est curieux! ma place aussi était dans le wagon numéro huit, sixième compartiment, cher Monsieur !

M. Martin - Comme c'est curieux et quelle coïncidence bizarre ! Peut-être nous sommes-nous rencontrés dans le sixième compartiment, chère Madame ?

Mme Martin - C'est bien possible, mais je ne m'en souviens pas, cher Monsieur !

M. Martin - A vrai dire, chère Madame, moi non plus je ne m'en souviens pas, mais il est possible que nous nous soyons aperçus là, et si j'y pense bien, la chose me semble même très possible.

Mme Martin - Oh ! Vraiment, bien sûr, vraiment, Monsieur !

M. Martin - Comme c'est curieux !... J'avais la place numéro trois, près de la fenêtre, chère Madame.

Mme Martin - Oh, mon Dieu, comme c'est curieux et comme c'est bizarre, j'avais la place numéro six, près de la fenêtre en face de vous, cher Monsieur.

M. Martin - Oh, mon Dieu, comme c'est curieux et quelle coïncidence !... Nous étions donc vis-à-vis, chère Madame ! C'est là que nous avons dû nous voir !

Mme Martin - Comme c'est curieux ! C'est possible mais je ne m'en souviens pas, Monsieur !

M. Martin - A vrai dire, chère Madame, moi non plus je ne m'en souviens pas. Cependant, il est très possible que nous nous soyons vus à cette occasion.

Mme Martin - C'est vrai, mais je n'en suis pas sûre tout, Monsieur.

M. Martin - Ce n'était pas vous, chère Madame, la dame qui m'avait prié de mettre sa valise dans le filet et qui ensuite m'a remercié et m'a permis de fumer ?

Mme Martin - Mais si, ça devait être moi, Monsieur! Comme c'est curieux, comme c'est curieux, et quelle coïncidence !

M. Martin - Comme c'est curieux, comme c'est bizarre, quelle coïncidence ! Eh bien alors, alors, nous nous sommes peut-être connus à ce moment-là, Madame ?

Mme Martin - Comme c'est curieux et quelle coïncidence ! C'est bien possible, cher Monsieur! Cependant, je ne crois pas m'en souvenir.

M. Martin - Moi non plus, Madame.

Un moment de silence. La penle sonne 2-1.

M. Martin - Depuis que je suis arrivé à Londres, j'habite rue Bromfield, chère Madame.

Mme Martin - Comme c'est curieux, comme c'est bizarre ! moi aussi, depuis mon arrivée à Londres j'habite rue Bromfield, cher Monsieur.

M. Martin - Comme c'est curieux, mais alors, mais alors, nous nous sommes peut-être rencontrés rue Bromfield, chère Madame.

Mme Martin - Comme c'est curieux, comme c'est bizarre ! C'est bien possible après tout ! Mais je ne m'en souviens pas, cher Monsieur.

M. Martin - Je demeure au numéro dix-neuf, chère Madame.

Mme Martin - Comme c'est curieux, moi aussi j'habite au numéro dix-neuf, cher Monsieur.

M. Martin - Mais alors, mais alors, mais alors, mais alors, mais alors, nous nous sommes peut-être vus dans cette maison, chère Madame ?

Mme Martin - C'est bien possible, mais je ne m'en souviens pas, cher Monsieur.

M. Martin - Mon appartement est au cinquième étage, c'est le numéro huit, chère Madame.

Mme Martin - Comme c'est curieux, mon Dieu, comme c'est bizarre ! et quelle coïncidence! moi aussi j'habite au cinquième étage, dans l'appartement numéro huit, cher Monsieur.

M. Martin - Comme c'est curieux, comme c'est curieux, comme c'est curieux et quelle coïncidence ! Vous savez, dans ma chambre à coucher j'ai un lit. Mon lit est couvert d'un édredon vert. Cette chambre, avec ce lit et son édredon vert, se trouve au fond corridor, entre les water et la bibliothèque, chère Madame !

Mme Martin - Quelle coïncidence, ah mon Dieu, quelle coïncidence ! Ma chambre à coucher a elle aussi un lit avec un édredon vert et se trouve au fond corridor, entre les water, cher Monsieur, et la bibliothèque !

M. Martin - Comme c'est bizarre, curieux, étrange! alors, Madame, nous habitons dans la même chambre et nous dormons dans le même lit, chère Madame. C'est peut-être là que nous nous sommes rencontrés !

Mme Martin - Comme c'est curieux et quelle coïncidence! C'est bien possible que nous nous y soyons rencontrés, et peut-être même la nuit dernière. Mais je ne m'en souviens pas, cher Monsieur.

M. Martin - J'ai une petite fille, ma petite fille, elle habite avec moi, chère Madame. Elle a deux ans, elle est blonde, elle a un oeil blanc et un oeil rouge, elle est très jolie, elle s'appelle Alice, chère Madame.

Mme Martin - Quelle bizarre coïncidence! Moi aussi j'ai une petite fille, elle a deux ans, un oeil blanc et un oeil rouge, elle est très jolie et s'appelle aussi Alice, cher Monsieur!

M. Martin, même voix traînante, monotone. - Comme c'est curieux et quelle coïncidence! et bizarre! C'est peut-être la même, chère Madame!

Mme Martin - Comme c'est curieux! C'est bien possible, cher Monsieur.

Un assez long moment de silence... La penle sonne vingt-neuf fois.

M. Martin, après avoir longuement réfléchi, se lève lentement et, sans se presser, se dirige vers Mme Martin qui, surprise par l’air solennel de M. Martin, s'est levée, elle aussi, tout doucement; M. Martin a la même voix rare, monotone, vaguement chantante. - Alors, chère Madame, je crois qu'il n'y a pas de doute, nous nous sommes déjà vus et vous êtes ma propre épouse... Élisabeth, je t'ai retrouvée !

Mme Martin s'approche de M. Martin sans se presser. Ils s'embrassent sans expression. La penle sonne une fois, très fort. Le coup de penle doit être si fort qu'il doit faire sursauter les spectateurs. Les époux Martin ne l'entendent pas.

Mme Martin - Donald, c'est toi, darling !

Ils s'assoient dans le même fauteuil, se tiennent embrassés et s'endorment. La penle sonne encore plusieurs fois.

La Cantatrice chauve, Scène IV

Ⅳ 求简短法语小话剧剧本

要多久的? 在法国 Molière 是最出名的话剧家 我以前在法国读初中的时候 老师带我们看过2场 他写话剧 很好笑 也很讽刺 它们分别是 le malade imaginaire 和 L'Avare 如果太长 你们可以选比较精彩的部分进行表演

Ⅵ 有哪些法语节目适合法语初学者表演的,人数最好可以多一点。

唱歌或者话剧呗

Ⅶ 大家推荐几部法国的剧本,我们法语戏剧节演出用~

En attendant Godot - Samuel Beckett 我就演过这个 挺有意思 而且是新时代剧本的典范

要有点思想深度的话

Molière 老大写的 都不错内 比如说容 Tartufe ; bourgeois gentilhomme; 都是喜剧 不过都在字面下批判社会的不公 和人性的污点

还有一个 我自己比较喜欢的: Antigone - Jean Anouilh 非常棒! 很有特点 也很惹人深思

Ⅷ 求法语话剧剧本

演员: 旁白( ) 爸爸( ) 后母( ) 海伦( ) 珍妮( ) 王子( )爱丽丝( ) 士兵甲( ) 士兵乙( ) 仙女( )
道具要求:衣服(公主裙、王子装) 高跟鞋一对 水果若干 电话两部 闹钟一个

第一场

旁白:很久很久以前,有一个可爱的姑娘,她的名字叫爱莉斯,她的妈妈死了,她的爸爸很爱她。

爸爸(出场、手捧礼物):亲爱的女儿,这个礼物是给你的,你喜欢它吗?

爱莉斯(做惊喜状):噢!谢谢你,爸爸!

爸爸:我亲爱的女儿,我愿你永远快乐!

爱莉斯:不过亲爱的爸爸,我肚子有些饿了。

爸爸:我很抱歉,我马上给你做饭
爸爸退场。爱丽丝退场。

旁白:可是一天她的父亲又找了一个新妈妈,看,她的后母和她的新姐姐们来了。

后母带领两个女孩出场。
后母:海伦,珍妮,看,多么漂亮的房子啊!

海伦:对,还有许多水果,苹果啊,香蕉啊,芒果啊,还有荔枝!喔!我爱死它们了!

珍妮(指向一堆衣物):妈妈,你看,还有漂亮的衣服,我喜欢这个!!

爱莉斯(出场):噢,不行,那是我的!那是爸爸买给我的新衣服!

珍妮:你是哪个?妈妈,她是哪个???

后母:她是你们的妹妹,没事,爱莉斯,去,快去打扫屋子给我们做饭!

爱莉斯:为什么啊?我不是你们的仆人呀!

后母:但是从现在起,你就是我们的仆人了!!
爱丽丝委屈的退场。

旁白:从那以后,爱莉斯就变成了她们的仆人,她从早到晚的干活,她没有屋子住,她没有好东西吃,也没有衣服可穿,她越来越脏,所以周围的人都叫她灰姑娘。

第二场

敲门声响起。
后母:哪个啊?

士兵:是我,我是来自王宫的士兵,早上好,女士!这是给你和你女儿的。

后母:是什么啊?珍妮!海伦!好消息!王宫将会有个盛大的舞会,王子要从姑娘们里面选一位做他的王妃!

珍妮和海伦;哇噻!我将会是王妃!

后母:女儿们,快点!你们一定要穿上你们最最漂亮的衣服,打扮的漂亮点!
珍妮和海伦下场、打扮。

爱莉斯:妈妈,我也很想去!

后母:就你?看看你自己,这么脏这么丑! 女儿们,准备好了么?我们快走!
后母和姐姐们退场。

爱莉斯(哭泣):噢,我真的很想去,我该怎么办才好?

仙女出场
仙女:可怜的小姑娘,让我来帮助你! (给爱丽丝去掉围裙、套上衣物)爱莉斯,去舞会跳舞吧,不过要记住,你必须得在十二点钟前回来,否则一切将会变回原样。

爱莉斯:谢谢你仙女姐姐!

仙女:当心点,别忘记时间!

爱莉斯:噢,我不会忘记的!
爱丽丝退场。仙女退场。

第三场

国王:女士们,先生们,欢迎参加这次的王宫舞会,我是你们的国王。今晚,我们的王子将会选出一位最漂亮最善良的女孩成为他的王妃,现在,年轻的女孩们,请来到中央起舞吧。
若干名女士、先生出场。起舞

国王:怎么样,你喜欢哪个女孩?

王子:不,一个都不喜欢。

灰姑娘出场
国王:哇!看那个女孩,她好漂亮!

王子:美丽的姑娘,我可以请你跳舞吗?

爱莉斯:噢,是的,我愿意。
爱丽丝、王子起舞。

十二点钟钟响
爱莉斯:噢,天哪,是时候该回去了,我必须得走!
爱丽丝慌忙退场。掉落水晶鞋。

王子:等等!等等!你叫什么?
王子捡起水晶鞋。
王子(凝视水晶鞋):我一定要找到你!我的士兵呢?!

士兵甲、乙:在!

王子:把这只鞋子拿到每家每户,你们必须要找到这个女孩!

士兵甲、乙:是的!遵命!

第四场

后母:有什么事吗?官大爷?

士兵甲:尊敬的女士,你们家有年轻的小姐吗?

士兵乙:一位可爱的姑娘在舞会上掉了她的鞋子,王子想找到她和她结婚。

海伦:让我试让我试!这只鞋子是我的!

海伦试鞋。
士兵甲:哦,对不起,鞋子太小了,不是你的鞋

珍妮:是我的是我的,让我来试试!

士兵乙:哦它不是你的,它太大了。

后母:嗨!也许是我的呢!让我试试撒!

士兵乙:哦,我的老天!它不可能是你的。你家还有其他的小姐吗?

爱丽丝出场。
爱莉斯:你好,先生,我可以试一试吗?

后母:你?滚!

海伦:看看你自己!

珍妮:又丑又脏!

士兵甲:不,女士们,让她试试。过来,小姐,请穿上它。

爱莉斯:谢谢!

士兵甲、乙合:太完美了,它就是你的!

士兵甲(掏出电话、打电话): 5535240

王子(在角落出场、打电话):你好!我是王子

士兵甲:殿下,好消息,我们找到了这位漂亮的女孩了!

王子:真的?真的是太好了!我会在第一时间内赶到!

王子赶到。
王子:噢,我最爱的姑娘,我爱你!和我一起离开这,做我的妻子,你愿意吗?

爱莉斯:噢,我愿意!

后母和姐姐们:为什么会这样?

旁白:这就是故事的结局,爱莉斯最终找到了她的幸福,爱莉斯和王子从此幸福的生活在一起.

Acteurs: voix () père () belle-mère () Helen (en) Jennifer () Prince () Alice () Un soldat () soldats B () fée ()
Accessoires: les vêtements (robe de princesse, équipé Prince) une paire de hauts talons fruits numéro de téléphone d'un réveil deux

La première

En plus: Il ya de nombreuses années, il y avait une belle fille, son nom est l'amour Lisi, sa mère est morte, son père l'aimait.

Père (joué, la tenue d'un don): Ma chère fille, il s'agit d'un cadeau pour vous, ne vous plaît?

Lisi amour (ce que l'agréable surprise): Oh! Merci, papa!

Papa: Ma chère fille, je voudrais vous heureux pour toujours!

Lisi amour: Cher Papa, cependant, j'ai quelques ventres affamés.

Papa: Je suis désolé, je vais vous donner de cuisson
Papa sur. Alice sortie.

Narration: Mais un jour son père à trouver une nouvelle mère, sa nouvelle belle-mère et ses soeurs sont arrivés.

Conire la belle-mère de deux filles.
Belle-mère: Helen, Jenny, de voir comment la belle maison ah!

Hélène: Oui, il ya beaucoup de fruits, pommes, ah, ah banane, mangue, ah, il litchi! Oh! Je l'amour qu'ils avaient!

Jennifer (point d'une pile de vêtements): Maman, tu vois, il ya des beaux vêtements, I love this! !

Love Lisi (out): Oh, non, qui a été mon! Il m'a été donné par mon père à acheter de nouveaux vêtements!

Jennifer: Quels-vous? Sa mère, elle est quoi? ? ?

Belle-mère: elle est votre sœur, tout droit, l'amour de Lisi, allez nettoyer la maison, la cuisine pour nous!

Lisi amour: ah Pourquoi? Je ne suis pas votre serviteur vous!

Belle-mère: A partir de maintenant, toutefois, vous êtes nos fonctionnaires ont! !
Alice de la victime.

Narration: Depuis lors, Lisi amour devient un serviteur entre eux, elle travaille matin au soir, elle n'a pas vivre dans la maison, elle n'a pas eu de bonnes choses à manger et pas de vêtements à porter, elle a de plus en plus sale, de sorte Les gens autour d'elle appel à Cendrillon.

La deuxième

Enten une frappe à la porte.
Belle-mère: Qu'est-ce-ah?

Les soldats: Oui, je viens de soldats Royal Palace, Bonjour, mesdames! C'est pour vous et votre fille.

Belle-mère: Qu'est-ce-ah? Jenny! Helen! Bonne Nouvelle! Palace aura un grand bal, le prince des filles de l'intérieur de son élection à faire une princesse!

Jenny et Helen; thiophène wow! Je serai la princesse!

Belle-mère: Filles, vite! Vous devez porter vos plus beaux vêtements, beau point de la robe!
Jenny et Helen se retrouvent.

Lisi amour: Maman, je veux aller!

Belle-mère: vous? Jetez un coup d'oeil à vous, aussi sale si moche! Les filles, vous prêt? Nous rapide!
Belle-mère et les soeurs.

Love Lisi (pleurs): Oh, j'ai vraiment envie d'aller, comment dois-je faire?

Apparence plus jeune
Fairy: la pauvre fille, laissez-moi vous aider! (Alice de supprimer l'aire de trafic, mettre sur les vêtements) Lisi amour de la danse danse, mais nous devons nous rappeler que vous avez à faire dans le dos avant douze heures, ou tout autre retour à l'original.

Lisi amour: jeune sœur, je vous remercie!

Fairy: Attention, n'oubliez pas le temps!

Lisi amour: Oh, je n'oublierai jamais!
Alice sortie. Jeune sortie.

Troisième

Roi: Mesdames et Messieurs, bienvenue à prendre part dans le palais royal de la balle, je suis votre roi. Ce soir, nous allons élire un prince de la plus belle de la nature plus de cœur jeune fille de sa princesse, maintenant, les jeunes filles, il est arrivé à la centrale de danse.
Un certain nombre de Président, M. apparence. Danse

Roi: comment nature, qui comme vous les filles?

Prince: Non, pas comme un.

Cendrillon à
King: wow! Rechercher à la jeune fille, son très bon!

Prince: belle fille, je peux vous danser?

Lisi amour: Oh, oui, je voudrais.
Alice, Prince danse.

12:00 cloche sonnera
Lisi amour: Oh, mon Dieu, c'est le moment de revenir en arrière, je dois aller!
Alice sortie hâtive. Slipper automne.

Prince: et ainsi de suite! Et ainsi de suite! Qu'est-ce que vous appelez?
Prince Slipper ramasser.
Prince (le regard de Vénus): j'ai de vous retrouver! Mon soldats? !

Les soldats A, B:!

Prince: chaussures uniquement pour obtenir tous les ménages, vous devez trouver la fille!

Les soldats A, B: Oui! Oui!

Quatrième

Belle-mère: Puis-je vous aider? Officiel oncle?

Un soldat: Monsieur le Président, vous avez une jeune famille de Mlle il?

Les soldats B: Une belle fille à la balle au large de ses chaussures, voudrait à la recherche de son prince et son mariage.

Helen: Permettez-moi, laissez-moi essayer! C'est ma chaussure!

Helen paire de chaussures.
Un soldat: Oh, excusez-moi, les chaussures sont trop petites, pas vos chaussures

Jennifer: Oui, ma ma, permettez-moi d'essayer!

Les soldats B: Oh, ce n'est pas toi aussi.

Belle-mère: Hé! Il est peut-être ma! Je vais essayer de vous laisser aller!

Les soldats B: Oh, mon Dieu! Il est impossible pour vous. Votre maison, il ya d'autres Miss-il?

Alice par.
Lisi amour: Bonjour, Monsieur le Président, je peux essayer?

Belle-mère: Vous? Roll!

Helen: Regardez vos propres!

Jennifer: Vous Chouyou sale!

Un soldat: Non, Mesdames, laissez-lui essayer. Plus, Mademoiselle, s'il vous plaît mettre sur elle.

Lisi amour: Je vous remercie!

Les soldats A et B ensemble: un parfait, il est à vous!

Un soldat (sur appel): 5.535.240

Prince (à l'angle de la scène, un coup de téléphone): Bonjour! Je suis un prince

Un soldat: Son Altesse Royale, la bonne nouvelle, nous avons trouvé les filles ont assez!

Prince: vraiment? Really good! Je vais être la première fois arrivés!

Prince est arrivé.
Prince: Oh, I love la fille Je t'aime! Rejoignez-moi d'en sortir, si ma femme, ne vous l'aimez?

Lisi amour: Oh, je voudrais!

Belle-mère et les soeurs: Pourquoi est-ce?

En plus: Ceci est la fin de l'histoire, l'amour Liz, elle a finalement trouvé le bonheur, d'amour et de Lisi Prince heureux de vivre ensemble.

Ⅸ 法语童话剧

http://www.yuanfr.com/download/html/LePetitPrince_Francais.htm
小王子

Ⅹ 法语经典话剧剧本

茶花女、巴黎圣母院、悲惨世界、太阳王